Je parle d’un sujet douloureux pour notre famille. Pas évident à comprendre, et encore moins à raconter.
Je ne veux pas mettre de la haine dans ce post.
On a pu voir les enfants en 3 fois en 2014 et une fois en 2016. La situation dure encore.
La séparation douloureuse et avec préméditation.
Madame n’a pas laissé d’adresse, elle a coupé son téléphone courant ce même mois de juillet.
Plus de possibilité de les joindre. Et plus la possibilité de revoir les enfants.
Les administrations faisant de la rétention d’informations.
Mon chéri avait une idée de la destination, de sa femme et de ses enfants. Eh oui !!! madame avait un amant.
Mais on est au mois d’août, les administrations sont fermées ou sont aux ralenti.
Donc les recherches ont commencés par les administrations scolaires et municipales en septembre.
L’école où était scolarisé les plus grand, a bien voulu dire qu’elle avait donner un certificat de radiation à madame, alors même que la directrice connaissait la situation de séparation. Et surtout que madame est venu avec son amant chercher le certificat.
Pour information, les directeurs n’ont pas le droit de radier un enfant sans le consentement des deux parents. Mais ce n’est jamais appliqué.
Le rectorat de l’académie
Il s’est suivi d’appel à l’académie et au recteur de l’académie. La rectrice de l’académie a écouté les demandes de mon chéri et lui a dit une phrase qu’il l’a profondément marqué « les enfants sont avec leur mère, il n’y a pas d’inquiétudes à avoir, et vous n’êtes que le père. » . Merci madame la rectrice d’académie de soutenir les mères aliénantes.
Il n’y a pas eu d’information de la part de l’académie. Je vous reparlerais de la rectrice plus tard car on va avoir affaire de nouveau à elle.
Les appels à la mairie, mon chéri a obtenu du service enfance, le nom de l’école où était scolarisé son premier fils. Et cette personne a appelé madame pour avoir l’autorisation de divulguer son adresse et son numéro de téléphone. Madame a refusé.
Madame est donc hors la loi mais ce n’est pas grave car l’état la couvre et ne l’inquiète pas juridiquement.
Mon chéri a au moins pu se faire connaître de l’école. Il a enfin obtenu l’adresse de ses enfants sur la demande de séparation provenant du tribunal.
Sans ce courrier, je ne sais pas combien de temps, il aurai encore cherché. Nous sommes maintenant au mois de décembre. Ouf !!!!
Et ça recommence encore et encore
Mais c’était sans compter sur un nouveau mensonge de madame. Eh oui !!! L’audience eu lieu fin janvier et elle déménagea en février. Bien sûr sans donner sa nouvelle adresse.
Et on recommence.
Après 10 mois de rupture totale, un rendez-vous chez un spécialiste a permis à mon chéri de revoir son premier fils mais pas le deuxième qui était présent mais que madame a caché. Il a pu faire signer à madame son consentement pour les grandes vacances et avoir son adresse.
Sans ce rendez-vous, nous aurions jamais obtenu l’adresse des enfants.
La scolarisation
Les écoles étant au courant de la situation conflictuelle, ne fournissent pourtant pas d’information sur la scolarité des enfants. Malgré un rappel à l’ordre par le rectorat et c’est fait lui même remis aux pas par l’académie, mon chéri a reçu un appel de la rectrice (madame « vous êtes que le père ») qui se souvenait précisément de la situation évoqué un an plutôt. Madame a promis des suivis que l’on attentant encore.
Le dépôt de plainte et le système judiciaire
A chaque vacances,c’est lettre recommandée pour madame et dépôt de plainte. Mon chéri passe deux à trois heures au poste de gendarmerie pour signifier la non présentation d’enfant. Il pourrait le faire tous les 15 jours à chaque week-end de garde.
Mon chéri a eu le droit à la conciliation amiable. Madame a dit oui, je vais le faire (encore un mensonge). Donc pas de procédure au tribunal, plaintes classées sans suite.
Le procureur qui le convoque car les plaintes encombrent le tribunal et qu’il faut arrêté.
Dès le moment où une plainte est recevable, la police ou la gendarmerie sont dans l’obligation de l’entendre.
Les courriers du juge des affaires familiales et au procureur de la république qui restent sans réponse mais envoyer les services sociaux à la maison pour évaluer l’accueil des enfants et faire un rapport au jaf, oui. Mais pas de suite.
Par contre, madame porte plainte contre mon chéri et là, il faut aller à la gendarmerie. Toutes les excuses sont bonnes: pension alimentaire, harcèlement sexuelle sur les enfants, harcèlement morale pour madame.
Eh oui, c’est une pauvre femme, il faut la protéger. Tout a été classé.
La santé
Madame ne faisait pas suivre médicalement les enfants qui sont handicapés. Il a fallu que mon chéri appelle le 119, alors qu’il ne voit pas ses enfants pour que les choses bougent. C’est tellement simple de prendre les aides et de ne rien faire pour qu’ils s’en sortent. C’est une manne financière. Nous en avons eu le preuve lors de la première retrouvaille, les vaccins n’avaient pas été fait et avaient un retard d’un an.
Maintenant ils sont suivis par les services sociaux et spécialisés. Ce n’est pas pour autant que mon chéri reçoit des informations sur leur santé.
Lors des opérations, les courriers arrivent à la maison sans explications, sans rendez-vous avec les chirurgiens. Mais il faut donner les autorisations d’opérer. Madame et son avocat n’hésitent pas à faire des menaces pour obtenir ce qu’elle veux.
L’ascenseur émotionnel
Mon chéri est une personne qui ne montre pas ses émotions facilement alors que moi c’est tout le contraire.
De son coté, c’est ce que je perçois chez lui. Il est triste en permanence de ne pas voir ses loulous. Il ne parle jamais de la douleur et de la colère qu’il a quand on se déplace pour rien ou qu’il reçoit un refus par écrit. Le jour où il a revu pour la première fois ses enfants au bout de 15 mois, il en a pleuré de joie.
La situation fait qu’il se demande si les loulous ont oublié leur père puisque madame fait appelé « papa » son amant. A moi de la rassurer sur ce point et de lui rappeler qu’ils ne pleurent jamais quand ils sont avec nous et qu’ils ne réclament pas leur mère non plus donc ils savent qui est leur père.
Mes sentiments de femme
De mon coté, alors là ce n’est pas la même histoire. Je rentre dans des colères noires, je pleure, je hurle sur mon chéri qui n’y est pour rien et j’écris des lettres aux administrations divers et variées. Ça calme mes nerfs. Et je suis tellement heureuse quand on est tous réunis. A chaque fois que l’on va chercher les enfants, j’ai déjà prévu tout pour eux et leur faire plaisir mais je stresse un max de savoir comment ça va se passer car les agressions verbales et physiques sont réalisées devant les enfants par l’amant de madame qui elle, ne se déplace même plus. Idem pour le retour.
La situation dure depuis 2013, c’est usant, fatiguant. On se retrouve bloqué dans cette situation qui nous empêche d’avancer et de réaliser certains projets.
Les fêtes de fin d’année avec des cadeaux qui ne seront pas ouvert et les anniversaires sans nouvelles vont encore rythmer les années qui viennent à moins que la justice fasse son travail.
Maintenant quand ça ne va pas et que le manque est trop grand, on regarde lui comme moi, la petite merveille que la vie nous a donné: ma chouquette d’amour.
Les idées reçues
La plupart des administrations familiales sont gérées par des femmes que ce soit les jaf, les assistantes sociales, écoles et d’autres que je dois oublier, ont la même réaction « ils sont avec leur mère donc ils sont biens ». Le père n’a aucune valeur à leurs yeux. Les femmes sont toujours des victimes. Mais ça serai bien que tout ce petit monde ouvre les yeux et apporte un peu de crédit au père. Un enfant ne peut pas s’épanouir sans voir son père alors qu’il existe et que l’enfant le sait et ne peut être remplacer. Ces bien-pensantes vont aussi nous dire que cela n’affecte pas le développement de l’enfant.
Sachez que pour les loulous, la situation les affecte, le second fils de mon chéri (ma boulette) refuse de entrer en contact avec autrui et ne se développe plus normalement. Il ne veut pas apprendre.
En conclusion, peu importe le temps que cela prendra nous continuerons à nous battre pour ses enfants. C’est notre combat. Puisque la plupart de ces agissements sont répréhensible par la loi et que la loi ne fait rien et ne punit pas non plus, on essaie de garder le moral. Patience est le maitre mot.
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